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La Société d’Histoire du Témiscamingue

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Si en Abitibi-Témiscamingue…

SHT Saviez-vous que 12 juin 201331 octobre 2013

il y a des terres cultivables, c’est dû en grande partie à la fonte des glaciers, limon 59733 km2.

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Société d'histoire du Témiscamingue

2 jours passé

Société d'histoire du Témiscamingue
La Drave … un métier dangereuxLe transport du bois se fait par voie d’eau. Les billots sont traînés dans la forêt par des chevaux jusqu’à la rivière ou au ruisseau le plus proche. Ils flottent sur ce cours d’eau jusqu’à un lac où ils seront regroupés en estacades que des bateaux remorqueront. Le bois est ainsi acheminé par flottage jusqu’aux usines de transformation du sud du Québec et l’Ontario. À partir de 1917, le trajet du flottage du bois s’arrête à la pulperie de Témiscaming. Les dernières opérations de drave au Témiscamingue se feront à la fin des années 1970.Les draveurs exercent un métier difficile et dangereux. Augustin Chénier, un chroniqueur de l’histoire du Témiscamingue, donne une bonne description de ce métier dans son livre : « Notes historiques sur le Témiscamingue ».La période du flottage était pour les voyageurs (elle existe encore)* la plus rude, en même temps que la plus périlleuse de sa dure vie : passer des journées entières à rouler sur des billes flottantes, se jeter jusqu’à la ceinture dans l’eau glacée du printemps pour faire suivre les pièces récalcitrantes, parcourir, sur de longues distances, les rives enchevêtrées des ruisseaux, enfonçant jusqu’aux genoux dans une vase gluante ou butant sur un corps mort, pendant que la longue gaffe se cherche un chemin à travers les aulnaies, aller jusqu’au milieu des impétueux libérer le train de bois arrêté dans sa descente par un obstacle invisible, risquer de s’engouffrer avec les billes dans la vrille d’un remous, demeurer tout le jour trempé jusqu’à la ceinture, avec la perspective de reprendre, le lendemain dans les mêmes périls, telle était la vie de nos draveurs pendant deux, trois mois et plus. Chénier, Augustin, Notes historiques sur le Témiscamingue, p. 65*Il se fait encore de la drave au Témiscamingue à l’époque où Augustin Chénier écrit son livreSource : L’EXPRESS sillonne la région de l’Abitibi-Témiscamingue (1984) ... En voir plusEn voir moins

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6 jours passé

Société d'histoire du Témiscamingue
NÉDELECQuelques brides tirées du livre des minutes de la Corporation scolaire de Nédelec.31 août 1924 M. Eugène Tessier fut engagé comme secrétaire avec comme salaire 110.00$ par an.4 janvier 1925 M. Tessier ayant démissionné, il fut remplacé par M. Joseph Perron qui fut engagé à 125.00$ par an.1 février 1925 Nouveau secrétaire en la personne de M. Arthur Perron qui gagnerait 115.00$ par an. Mgr Louis-Z. Moreau fut nommé auditeur des livres avec un aide.5 mai 1925 Le secrétaire était autorisé à envoyer un avis au commissaire qui ne se rendait pas aux assemblées de la corporation scolaire. Aussi il devait prendre les procédures nécessaires pour lui faire payer une amende au montant de 5,00$ pour négligence dans sa charge de commissaire d’école.5 juillet 1925 Le secrétaire donne un avis public que tout enfant qui fréquente les écoles de cette municipalité, devra se soumettre au règlement de la vaccination qui est en force. Par le cas contraire, ils seront passibles d’amende et les enfants seront refusés.14 juillet 1929 Un règlement stipule que toute institutrice qui recevrait des visiteurs non autorisés devra payer une amende de 10,00$ pour la violation d’un tel règlement.3 octobre 1944 La Corporation scolaire de Nédelec s’engage à fournir gratuitement aux enfants les manuels scolaires.7 mai 1946 Seront admis au couvent, école no. 3, les enfants de la paroisse qui auront fait leur 7e année dans leur arrondissement respectif.6 avril 1948 La Corporation scolaire autorise les travaux pour l’aménagement d’une salle de classe de garçons au sous-bassement de la salle municipale. Octroi 1 000,00$.5 novembre 1951 Vente de l’école no. 4.7 avril 1952 Est accordé à M. Donat Goudreault le contrat de l’école des garçons de Nédelec, arrondissement no. 3 au prix de 18 700.00 $. 5 mai 1952 Une demande est faite aux religieuses d’Amos pour avoir une 10e année au couvent. Toutes les assemblées avaient lieu chez M. Alfred Perron. Location de la salle 25,00$ l’an.Septembre 1956 Le conseil des commissaires accepte la soumission de M. Jacques Plamondon pour le transport des élèves de l’école no. 1.Septembre 1958 M. Ludger Bergeron a un contrat pour voyager les élèves des écoles no. 1 et no. 7.30 avril 1960 Une soumission de M. Gilbert Jolette et Albert Mercier pour la construction de l’école Saint-Louis fut acceptée. Montant de la soumission : 138 500,00$13 décembre 1963 L’école des garçons est détruite par le feu.Source : Mémoire d’une époque – Nedelec 1910-1985 pages 51-52 ... En voir plusEn voir moins

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