Skip to content
La Société d’Histoire du Témiscamingue

La Société d’Histoire du Témiscamingue

MERCI À NOS 505 MEMBRES DE VOTRE CONTRIBUTION!

Menu

  • Activités
  • Services
  • Publications
  • Fonds d’archives
  • Généalogie
  • Saviez-vous que
  • Médias
    • Photos
    • Vidéos
  • Contactez-nous
    • Adhésion
    • Politique de confidentialité

Algonquin

SHT Saviez-vous que 12 juin 201330 octobre 2013

Signifie «là où l’on pêche aux harpons»

  • ← Le lac Témiscamingue
  • Municipalité qui a changé de nom quatre fois →

Archives

Société d'histoire du Témiscamingue

1 jour passé

Société d'histoire du Témiscamingue
Suivez le lien vidéo sur la drave très intéressant.fb.watch/3-sF4WxJM5/ ... En voir plusEn voir moins

Video

Aller sur Facebook
Société d'histoire du Témiscamingue

3 jours passé

Société d'histoire du Témiscamingue
La Drave … un métier dangereuxLe transport du bois se fait par voie d’eau. Les billots sont traînés dans la forêt par des chevaux jusqu’à la rivière ou au ruisseau le plus proche. Ils flottent sur ce cours d’eau jusqu’à un lac où ils seront regroupés en estacades que des bateaux remorqueront. Le bois est ainsi acheminé par flottage jusqu’aux usines de transformation du sud du Québec et l’Ontario. À partir de 1917, le trajet du flottage du bois s’arrête à la pulperie de Témiscaming. Les dernières opérations de drave au Témiscamingue se feront à la fin des années 1970.Les draveurs exercent un métier difficile et dangereux. Augustin Chénier, un chroniqueur de l’histoire du Témiscamingue, donne une bonne description de ce métier dans son livre : « Notes historiques sur le Témiscamingue ».La période du flottage était pour les voyageurs (elle existe encore)* la plus rude, en même temps que la plus périlleuse de sa dure vie : passer des journées entières à rouler sur des billes flottantes, se jeter jusqu’à la ceinture dans l’eau glacée du printemps pour faire suivre les pièces récalcitrantes, parcourir, sur de longues distances, les rives enchevêtrées des ruisseaux, enfonçant jusqu’aux genoux dans une vase gluante ou butant sur un corps mort, pendant que la longue gaffe se cherche un chemin à travers les aulnaies, aller jusqu’au milieu des impétueux libérer le train de bois arrêté dans sa descente par un obstacle invisible, risquer de s’engouffrer avec les billes dans la vrille d’un remous, demeurer tout le jour trempé jusqu’à la ceinture, avec la perspective de reprendre, le lendemain dans les mêmes périls, telle était la vie de nos draveurs pendant deux, trois mois et plus. Chénier, Augustin, Notes historiques sur le Témiscamingue, p. 65*Il se fait encore de la drave au Témiscamingue à l’époque où Augustin Chénier écrit son livreSource : L’EXPRESS sillonne la région de l’Abitibi-Témiscamingue (1984) ... En voir plusEn voir moins

Photo

Aller sur Facebook

Histoire en mouvement

RADIO
Radio CKVM player-winamp player-wmp player-real player-qt player-itunes Android iPhone
JOURNAUX
Journal Le Reflet Journal Le Reflet
La Frontiere

Merci à nos partenaires!

Copyright © 2021 La Société d’Histoire du Témiscamingue. Powered by WordPress. Theme: Accelerate by ThemeGrill.
  • Accueil
  • Contactez-nous
  • BAnQ
  • Connexion