Skip to content
La Société d’Histoire du Témiscamingue

La Société d’Histoire du Témiscamingue

MERCI À NOS 505 MEMBRES DE VOTRE CONTRIBUTION!

Menu

  • Activités
  • Services
  • Publications
  • Fonds d’archives
  • Généalogie
  • Saviez-vous que
  • Médias
    • Photos
    • Vidéos
  • Contactez-nous
    • Adhésion
    • Politique de confidentialité

ST-EUGÈNE-DE-GUIGUES

Retour à la liste de fonds

Voici la liste des albums actuellement disponibles concernant le fonds St-Eugène-de-Guigues :

  • ST-EUGÈNE-DE-GUIGUES PH8-Boîte 1

 

Archives

Société d'histoire du Témiscamingue

3 jours passé

Société d'histoire du Témiscamingue
Éphémérides : Voici ce qui est arrivé le 9 avril 1959 à Fabre.Le Progrès, jeu. 9 av.1959 p. 1Hold-UpDans la nuit de mercredi à jeudi, chez M. Emmanuel Bouchard, eut lieu ce qui serait le premier vol à main armée commis dans notre région. Un jeune homme de 20 ans environ s’est présenté à M. Bouchard, main dans la poche de son veston et a réclamé « la bourse ou la vie ». M. Bouchard s’est prudemment exécuté et lui remit son portefeuille contenant $160. Le jeune homme s’enfuit aussitôt, les jambes à son cou.On croit qu’il y a relation entre ce vol et d’autres commis précédemment au Témiscamingue. L’auteur du vol à main armée fait, croit-on, partie d’une bande organisée. Le sergent-détective Laurence St-Éloi, de la Sûreté Provinciale, fait présentement enquête. ... En voir plusEn voir moins
Aller sur Facebook
Société d'histoire du Témiscamingue

4 jours passé

Société d'histoire du Témiscamingue
Historique de la GAPC’est en 1874 que les marchands de bois s’introduisirent dans nos limites. La coupe se fit d’abord au sud du comté jusqu’à la partie nord du lac Kipawa ; avec la colonisation, elle s’étendit graduellement au nord. Jusqu’en 1895, nos lacs et rivières flottèrent exclusivement du bois carré. L’hiver 1884-1885, la région de l’Outaouais supérieur expédiait dans ses « cages », 1 608 281 billots de pin blanc et 91 250 d’épinette. En 1885-1886, 1 783 522 pins blancs et 100 583 épinettes prenaient le même chemin. Les concessions forestières, au Témiscamingue, couvraient alors une superficie de 18 628 milles carrés été le Département des Terres et Forêts couvraient alors une superficie de 18 628 milles carrés et le Département des Terres et Forêts percevait sur la coupe : 387 482.00$. En 1988, l’évaluation forestière de l’Outaouais supérieur était de 150 000 000 de pieds par année pour 50 ans.Les frères McLaren furent les premiers à flotter le vois rond. En 1900, les compagnies suivantes possédaient des concessions forestières au Témiscamingue : JR Booth, W.C. edward, Fraser & Cie, McLaren, Sheppard & Morse, Gilles Brothers, Hawkesbury Lumber, Brownson, Lock, McLaghlin.La période du flottage était pour les passagers la plus rude, en même temps que la plus périlleuse de sa dure vie : passer des journées entières à rouler sur des billes flottantes, se jeter jusqu’à la ceinture dans l’eau glacée du printemps pour faire suivre des pièces récalcitrantes, parcourir, sur de longues distances, les rives enchevêtrées des ruisseaux enfonçant jusqu’aux genoux dans une vase gluante ou butant sur un « corps mort », pendant que la longue gaffe se cherche un chemin à travers les aulnaies, aller jusqu’au milieu des rapides impétueux, libérer le train de bois arrêté dans sa descente par un obstacle invisible, risquer de s’engouffrer avec les billes dans la vrille d’un remous, demeurer tout le jour trempé jusqu’à la ceinture, avec la perspective de reprendre, le lendemain, dans les mêmes habits humides, les mêmes travaux et les mêmes périls, telle était la vie de nos « draveurs » pendant deux, trois mois et plus.Source : Notes historiques sur le Témiscamingue par Augustin Chénier, Ville-Marie, 1937.The Upper Ottawa Improvement Company Ltd. acheta vingt (25) acres de terre à Notre-Dame-du-Nord, anciennement le Nord Témiscaming, le 24 octobre 1914. La compagnie construisit différents bâtiments en bois équarri pour des opérations. Aucun de ces bâtiments n’existent aujourd’hui étant tous démolis et remplacés par d’autres datant des années quarante (40).La Gap recevait le bois arrivant par flottage du haut du barrage d’Angliers, du Lac des Quinze, du Lac Simard, du Rapide Esturgeon, du parcours de la Rivière des Outaouais, de la Rivière Kinojévis jusqu’à sa source.Tandis que le Draper naviguait sur le lac Simard et des Quinze, le Wabus, le Pembrooke, l’Alexandra, le Lady Minto, et le Murer remorquaient les bômes(estacade) sur le lac Témiscamingue jusqu’au terminal, c’est-à-dire le moulin de pâte et papier de Témiscaming.Un bôme avait une capacité de 2700 cordes de bois. Le P.J. Murer remorquait trois (3) bômes à la fois. Les bômes étaient formés à la tête du lac par des petits remorqueurs qui rassemblaient les billes de bois. Le point de départ se trouvait à l’Île du Chef, en face de la Gap attachés à des piliers de ciment, bien enchaîné les gros remorqueurs venaient les quérir pour les acheminer vers Témiscaming. Une barge équipée d’une cuisine, une autre équipée de lits étaient traînées par le gros remorqueur ainsi que les bômes. Ce train flottant s’acheminait lentement vers sa destination.Toutes les opérations de communication à la tête du lac originaient de la Gap. L’engagement du personnel, les opérations forestières et de drave se faisaient à ce poste de relais.Finalement les opérations se définitivement terminées le 29 août 1978, par le départ du dernier bôme vers Témiscaming. …..»Sources : Bâtisseurs raconte-moi – Notre-Dame-du-Nord, Notre-Dame-des-Quinze- 1996 – pages 11-12 ... En voir plusEn voir moins

Photo

Aller sur Facebook

Histoire en mouvement

RADIO
Radio CKVM player-winamp player-wmp player-real player-qt player-itunes Android iPhone
JOURNAUX
Journal Le Reflet Journal Le Reflet
La Frontiere

Merci à nos partenaires!

Copyright © 2021 La Société d’Histoire du Témiscamingue. Powered by WordPress. Theme: Accelerate by ThemeGrill.
  • Accueil
  • Contactez-nous
  • BAnQ
  • Connexion